marseille : l'écriture du désastre
Il y a une sorte de déclin d'ascendance entre penser et mourir : plus nous pensons dans l'absence de pensée (déterminée), plus nous nous élevons, de marche en marche, vers le précipice, la chute à pic, l'échéance par la tête. Penser n'est qu'ascension ou déclin, mais n'a pas de pensée déterminée pour s'arrêter et se retourner vers soi - de là son vertige qui est cependant égalité, comme mourir est toujours égal, toujours étal (létal).
(Maurice Blanchot)
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